À l’aide de drones, des chercheurs des universités de Kyoto et de Strasbourg ont observé et suivi des hordes de chevaux sauvages au Portugal afin d’étudier leurs interactions et la structuration des différents groupes sociaux.
Diabète : un risque sanitaire partagé entre le chien et son propriétaire
Les propriétaires d’un chien atteint d’un diabète de type 2 sont davantage susceptibles de développer eux aussi la maladie, 38 % plus à risque précisément. En revanche cette corrélation n’est pas valable pour les chats. Explications.
Les boxers, des chiens au grand cœur malade
Les boxers sont sujets à une maladie cardiaque héréditaire fulgurante, souvent diagnostiquée trop tardivement pour être traitée convenablement. Mais la découverte d’un biomarqueur physiologique de cette affection pourrait révolutionner sa prise en charge, voire permettre son éradication chez cette race canine.
Covid-19 : un an après, que sait-on de l’origine du virus ?
Un an après les débuts de la pandémie de Covid-19, les hypothèses se bousculent encore sur l’origine du virus Sars-CoV-2. Les chercheurs n’ont toujours pas mis la main sur l’hôte intermédiaire responsable de la transmission du virus à l’homme, ce qui alimente les théories autour d’une fuite de laboratoire. Le silence de la Chine ajoute à l’énigme. Que sait-on réellement de l’origine de ce coronavirus ?
Lymphocytose: un nouveau syndrome à base génétique caractérisé chez le bouledogue anglais
Chez certains bouledogues anglais, le diagnostic de cancer aurait été établi à tort, selon une étude rétrospective américaine. Ainsi, les chiens de cette race présentant une leucémie lymphoïde chronique à lymphocytes B pourraient en réalité être atteints d’un syndrome non cancéreux récemment décrit : la lymphocytose polyclonale à cellules B. Cette découverte permet de mieux comprendre et prendre en charge ces deux affections chez le chien.
Covid-19 : comprendre l’infectivité du Sars-CoV-2 chez l’homme et l’animal
Le nouveau coronavirus (Sars-CoV-2) s’est répandu comme une traînée de poudre chez les populations humaines à travers le monde. Mais en parallèle, certaines espèces animales se sont également montrées réceptives à la coronavirus disease 2019 (Covid-19). Une nouvelle étude explique l’infectivité du virus qui varie selon les individus et les espèces.
Les allergies des chiens liées à celles de leurs maîtres via le microbiote
Selon des chercheurs de l’université d’Helsinki, en Finlande, les chiens sont davantage susceptibles de présenter des allergies lorsque leurs propriétaires souffrent également de symptômes allergiques. Une curieuse corrélation qui intrigue.
Recherche translationnelle : le sommeil caractérisé chez le chien
Jusqu’à récemment, les connaissances sur le sommeil du chien n’étaient que parcellaires. Une nouvelle étude établit un référentiel de base qui permettra de mieux comprendre, caractériser et traiter les troubles du sommeil canins, voire humains.
Leptospirose : le chat impliqué dans la propagation de la maladie du rat
L’infection par Leptospira chez le chat, pourtant un prédateur du principal réservoir de ces bactéries que sont les rongeurs, reste sous-estimée. Une étude remet en perspective le rôle des chats dans la propagation de cette zoonose potentiellement mortelle pour l’homme, en particulier dans les régions tropicales et subtropicales.
Risque zoonotique : l’ebolavirus Reston peut infecter les porcs… et l’homme
La pathogénicité du virus Ebola Reston chez le porc se précise, avec une nouvelle étude qui établit une transmission viable intra-espèce. Les autorités sanitaires s’inquiètent du potentiel rôle zoonotique des populations porcines dans la propagation du virus à l’homme.
L’ehrlichiose canine déferle sur l’Australie
Avant 2020, l’ehrlichiose, une maladie infectieuse transmise par les tiques porteuses d’une rickettsie, n’existait pas en Australie. Aujourd’hui, elle menace de contaminer des milliers de chiens, en se disséminant comme une traînée de poudre sur le territoire australien.
Une nouvelle avancée contre le cancer chez le chien, le chat et l’homme
Une étude lève le voile sur des interactions au sein des cellules et ouvre la voie à de potentiels traitements contre des maladies neurodégénératives et le cancer, tant chez l’homme que chez l’animal.