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Equirencontres 2011

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Les prochaines Equirencontres AVEF-Merial se tiendront au salon du Cheval de Paris le 10 décembre

Il faut aider les populations locales à développer leur élevage et gérer les politiques sanitaires

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Palier à la famine dépasse l’apport de céréales. Il faut aider les populations locales à développer leur élevage et gérer les politiques sanitaires

JO : AMM de médicaments vétérinaires

JORF n°0241 du 16 octobre 2011

Avis relatif à l’octroi d’autorisations de mise sur le marché de médicaments vétérinaires


http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000024668820&dateTexte=&categorieLien=id

Avis relatif à une abrogation de suspension d’autorisation de mise sur le marché de médicaments vétérinaires

http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000024668822&dateTexte=&categorieLien=id

JO : prime à la vache allaitante

JORF n°0241 du 16 octobre 2011

Arrêté du 11 octobre 2011 relatif aux montants unitaires de la prime nationale supplémentaire à la vache allaitante pour la campagne 2011

http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000024668738&dateTexte=&categorieLien=id

JO : objectifs nutritionnels particuliers des aliments diététiques pour animaux

JORF n°0240 du 15 octobre 2011

Arrêté du 29 septembre 2011 modifiant l’arrêté du 8 avril 1999 fixant la liste des objectifs nutritionnels particuliers des aliments diététiques pour animaux

http://www.legifrance.gouv.fr/jopdf/common/jo_pdf.jsp?numJO=0&dateJO=20111015&numTexte=22&pageDebut=17416&pageFin=17417

JO : Bac pro « conduite et gestion d’une entreprise du secteur canin et félin »

JORF n°0238 du 13 octobre 2011

Arrêté du 30 août 2011 relatif à la spécialité « conduite et gestion d’une entreprise du secteur canin et félin » du baccalauréat professionnel

http://www.legifrance.gouv.fr/jopdf/common/jo_pdf.jsp?numJO=0&dateJO=20111013&numTexte=23&pageDebut=17230&pageFin=17231

Dérogation des actes : les conditions et les listes sont parues !

Les conditions dans lesquelles certaines personnes peuvent réaliser des actes vétérinaires étaient attendues ces dernières semaines, de même que la liste des actes dérogatoires. C’est chose faite après publication d’un décret et d’un arrêté ai Journal Officiel du 7 octobre dernier.

Ces listes ne concernent pas les animaux de compagnie, mais les animaux dont la chair peut être consommée. En effet ces mesures législatives s’inscrivent dans la continuité des États Généraux du Sanitaire. Ces mesures concernent les propriétaires et détenteurs professionnels d’animaux de rente et techniciens en élevage « appartenant à des espèces dont la chair ou les produits sont destinés à la consommation humaine, ou leurs salariés ». Ils doivent répondre au moins à l’une des conditions suivantes :

  • disposer d’une attestation de formation à la pratique des actes énumérés par l’arrêté et délivrée par un organisme de formation continue,
  • être titulaires d’un diplôme ou d’un titre homologué de niveau égal ou supérieur au brevet d’études professionnelles agricoles ou au brevet professionnel agricole,
  • disposer d’une expérience professionnelle d’au moins un an dans le domaine de l’élevage.

Les techniciens devront détenir une attestation délivrée par un vétérinaire certifiant qu’ils maîtrisent les techniques de contention et les gestes d’intervention applicables à l’espèce et au type d’élevage concernés.
Sont réputés disposer de compétences adaptées les techniciens salariés d’un vétérinaire ou d’une société de vétérinaires habilités à exercer, d’une organisation de producteurs reconnue, d’un organisme à vocation sanitaire reconnu. Là aussi, les pré requis de ces techniciens sont définis dans le décret.

Quant aux actes, ils font donc l’objet de liste :
a) L’application de tout traitement y compris par voie parentérale, individuel ou collectif, à visée préventive ou curative ;
b) Pour les actes relevant de la reproduction :
– l’application de protocoles de traitements hormonaux pour la maîtrise du cycle œstral des femelles ;
– les constats d’aptitude à la reproduction et les constats de gestation dans les espèces bovine, ovine, caprine et porcine ;
– l’assistance à la mise-bas par voie naturelle, péri et post-partum ;
c) Pour les actes relevant de la conduite d’élevage :
– la castration des animaux dans les espèces bovine, ovine, caprine, porcine et aviaires ;
– la caudectomie des animaux dans les espèces ovine et porcine ;
– l’écornage ;
– l’encochage ;
– la taille des appendices cornés (débecquage, dégriffage et parage) ;
d) Pour les actes de dentisterie :
– le meulage de dents ;
– l’extraction des dents de lait ;
– la coupe de dents dans l’espèce porcine.
e) La réalisation de prélèvements biologiques à visée diagnostique ou zootechnique ;
f) L’examen lésionnel externe et interne des cadavres.

Peuvent être pratiqués par les techniciens visés au 7o de l’article L. 243-3 du code rural et de la pêche maritime les actes suivants :
a) Pour les actes relevant de la conduite d’élevage :
– la caudectomie dans les espèces ovine et porcine ;
– l’écornage ;
– l’encochage ;
b) Les prélèvements biologiques à visée zootechnique ;
c) Pour les actes relevant de la reproduction :
– les opérations de reproduction par cœlioscopie dans les espèces bovine, ovine, caprine et porcine ;
– la production d’embryons in ovo ou in vitro ;
– l’application de protocoles de traitements hormonaux pour la maîtrise du cycle œstral des femelles ;
– les constats d’aptitude à la reproduction et les constats de gestation hormis tout acte de diagnostic d’affection des organes génitaux dans les espèces bovine, ovine, caprine et porcine ;
d) Pour les actes de dentisterie :
– le meulage de dents ;
– l’extraction des dents de lait ;
– la coupe de dents dans l’espèce porcine.

Peuvent être pratiqués par les techniciens visés au 11o de l’article L. 243-3 du code rural et de la pêche maritime les actes suivants :
– l’élimination des pointes d’émail et des aspérités des tables dentaires ;
– l’extraction de dents de lait et de dents de loup.

 

Pour aller plus loin

Arrêté du 5 octobre 2011 fixant la liste des actes de médecine ou de chirurgie des animaux que peuvent réaliser certaines personnes n’ayant pas la qualité de vétérinaire

Décret n° 2011-1244 du 5 octobre 2011 relatif aux conditions dans lesquelles certaines personnes peuvent réaliser des actes de médecine et de chirurgie vétérinaires

Lisez l’intégralité du dossier et l’analyse sur la dérogation et la délégation des actes (toutes espèces) dans le numéro d’octobre du magazine Vetitude.

JO : octroi d’AMM vétérinaires

JORF n°0235 du 9 octobre 2011

Avis relatif à l’octroi d’autorisations de mise sur le marché de médicaments vétérinaires

http://www.legifrance.gouv.fr/jopdf/common/jo_pdf.jsp?numJO=0&dateJO=20111009&numTexte=48&pageDebut=17083&pageFin=17084

Un nouveau président pour la Société centrale canine (SCC)

Alors que le président sortant, Gérard Arthus, a remis sa démission lors du dernier comité directeur fin septembre, dans un climat assez houleux, Christian Eymard-Dauphin, déjà pressenti pour lui succéder lors du prochain renouvellement du bureau directeur, a été élu mardi 4 octobre à la présidence de cette institution.

C’est dans une période difficile pour la SCC que ce kinésithérapeute arrive au sommet de la pyramide cynophile. Eleveur de drahthaars, il devient vite une figure incontournable du monde des expositions en tant que juge et président de société canine régionale, celle d’Auvergne. Vice-président de la SCC depuis dix ans, ce changement s’inscrit donc dans la continuité… si ce n’est que plusieurs sujets urgents sont à traiter.
Depuis que la SCC a décidé de répondre seule à l’appel d’offres relatif à la gestion du fichier d’identification des carnivores domestiques, tout début janvier, cette délégation de service public est dans une impasse. Mais surtout, les relations avec le Syndicat national des vétérinaires d’exercice libéral (SNVEL) se sont, une nouvelle fois, dégradées… pour des raisons encore obscures. Financières ? Peut-être. De gouvernance ? Certainement, et à deux niveaux : celui du pilotage de la structure de gestion des fichiers d’identification (entre SCC et SNVEL), mais également au siège même de la SCC (rapports de force entre permanents et élus).
La gouvernance de la Société centrale canine devra être une priorité du nouveau président pour (re)donner du souffle à cette grande « administration » :
• recentrer les missions des permanents pour un meilleur soutien aux élus ;
• redynamiser la mise à disposition de l’armada administrative du siège vers les régions et les clubs de race ;
• rééquilibrer la répartition des rôles des associations de race et des sociétés canines régionales ;
• réécrire le projet associatif de la SCC et définir sa stratégie et ses objectifs de développement.

Le projet associatif de la Centrale, une vraie priorité ! L’évolution de la réglementation européenne a conduit l’Etat français à modifier sa procédure d’agrément des gestionnaires des livres d’origines (LOF et LOOF). Ce sont les missions originelles de la SCC qui pourraient ainsi être remises en cause. Depuis la fin des années 90, l’absence de vision de la SCC sur la place du chien dans la société a été désastreuse. On se rappelle les prises de positions rigides contre les chiens dangereux dans les années 98-99, avec cette volonté opportuniste de porter un coup à l’élevage non LOF, quitte à sacrifier certaines races des deuxième et troisième groupes. Le club du rottweiler, stable politiquement, connaîtra alors une implosion à la suite de la catégorisation de la race. Il en sera de même pour les races de type bull avec l’éclatement du grand club de l’airedale et divers terriers. Au final, les dirigeants de l’époque avaient même souhaité élargir les races et types raciaux concernés par l’arrêté du 21 avril 1999.
Suite à la loi L99-5 sur les chiens dangereux, plusieurs textes d’application ne verront pas le jour ou seront retardés de plusieurs années (plus d’une dizaine pour certains). L’objectif ? Le statu quo face à l’impossibilité de mesurer l’impact de nouvelles mesures pour les éleveurs LOF.

Bref, c’est un travail immense qui attend Christian Eymard-Dauphin. Il pourra probablement compter sur un comité directeur plus uni que par le passé et sur une image positive en cynophilie et bien au-delà.

JO : nomination Nicolas MOUSNIER FranceAgriMer

JORF n°0231 du 5 octobre 2011

Arrêté du 15 septembre 2011 portant nomination au conseil spécialisé de FranceAgriMer pour les filières d’animaux ruminants et équidés

http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000024629277&dateTexte=&categorieLien=id