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Mesures relatives à la lutte contre la fièvre catarrhale du mouton (FCO)

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Le texte entre en vigueur le jour de sa publication, soit le 18 septembre 2015.

 

Notice : la fièvre catarrhale du mouton (FCO), danger sanitaire de catégorie I, est une maladie virale affectant les ruminants. Du fait de la mise en évidence de plusieurs cas dans les départements de l’Allier, de la Creuse et du Puy-de-Dôme, le texte définit les zones réglementées conformément à l’arrêté du 22 juillet 2011 fixant les mesures techniques et administratives relatives à la lutte contre la fièvre catarrhale du mouton sur le territoire métropolitain.

Considérant les résultats d’analyse virologique rendus le 17 septembre 2015 par l’Anses-Laboratoire Santé animale, laboratoire national de référence, confirmant l’infection par la fièvre catarrhale du mouton de cinq cheptels des départements de l’Allier, de la Creuse et du Puy-de-Dôme,

 

Article 1

Le tableau figurant à l’annexe II de l’arrêté du 22 juillet 2011 susvisé est complété par le tableau annexé au présent arrêté.

 

Article 2

L’arrêté du 11 septembre 2015 définissant les zones réglementées relatives à la fièvre catarrhale du mouton est abrogé

 

ANNEXE : http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000031180853&dateTexte=&categorieLien=id

 

Liste provisoire des abattoirs agréés pour la fête de l’Aïd el Adha

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La liste provisoire des abattoirs agréés pour la durée de la fête de l’Aïd el Adha du mois de septembre 2015 est fixée comme suit :
 

SOBREVIA, 1, route de Marboz, 01000 Bourg-en-Bresse, FR 01.053.501 CE.
Bergerie de Baisenaz, 01710 Thoiry, FR 01.419.051 CE.
Abattoir Gesler, 01260 Hotonnes, FR 01.187.001 CE.
CHELLALI, 01290 Biziat, FR 01.046.052 CE.
REZGUI (Samir), 01140 Illiat, FR 01.188.001 CE.
CARLAVAN (Roger), quartier de la Bastide, 06460 Escragnolles, FR 06.058.011 CE.
GIAUME (Maurice), 2130, route château Neuf-Villevieille, 06390 Contes, FR 06.048.076 CE.
DE ROCCA SERRA (Xavier Henri), 15, rue Borgo, 20137 Porto Vecchio, FR 2A.247.305 CE.
SARL SUPER SOUK RN 193 – LD CANALE, 20600 Furiani, FR 2B.120.012 CE.
Association des résidents musulmans, 1 bis, rue des Frères-Lumière, 25700 Valentigney, FR 25.580.150 CE.
SOCABAQ, 10, rue Louis-Le Bourhis, 29551 Quimper Cedex 9, FR 29.232.006 CE.
CLAPPIER (Lionel), jeu de mail, chemin de la Guillaumette, 30600 Vestric-et-Candiac, FR 30.347.090 CE.
SARL Cazagnes Le Foirail Occitan, route de Mudaison, 34670 Baillargues, FR 34.022.007 CE.
MARTIN (Eric), Le Village, 38650 Roissard, FR 38.342.003 CE.
JOURDAN (Jérôme), 949, route des Cerisiers, 38440 Savas-Mépin, FR 38.476.001 CE.
Abattoir temporaire, rue des Quintaines, 41200 Romorantin-Lanthenais, FR 41.194.005 CE.
JOUSSET SARL, Le Moulin, 45170 Aschères-le-Marché, FR 45.009.001 CE.
Abattoir temporaire, lieudit Durmich, 57450 Farebersviller, FR 57.207.016 CE.
Abattoir temporaire, rue du Petit-Bois, 57460 Behren-lès-Forbach, FR 57.058.033 CE.
Abattoir temporaire, Puits-Simon, 57600 Forbach, FR 57.227.176 CE.
Abattoir temporaire, cité Chapelle, 57800 Freyming-Merlebach, FR 57.240.463 CE.
Abattoir temporaire, 47, avenue de Thionville, 57140 Woippy, FR 57.751.100 CE.
GAEC Lison, Les Gabelins, 73390 Chamousset, FR 73.068.008 CE.
CHEVALLIER (Cyrille), 107, route de la Ferme, 74370 Saint-Martin-Bellevue, FR 74.245.008 CE.
Abattoir ATHOR, route de la Plage, 76580 Le Trait, FR 76.709.001 CE.
EURL BISMILLAH, 1, rue des Sècherons, 77130 Montereau-Fault-Yonne, FR 77.305.04 CE.
VIANDES ET VOLAILLES DES GRANDS MAISONS, 70-72, rue des Grands-Maisons, 77120 Coulommiers, FR 77.131.009 CE.
Abattoir temporaire de Trappes, 1, avenue Jean-Pierre-Timbaud, 78190 Trappes, FR 78.621.423 CE.
SARL Méd. Orient Import Export, 9001, chemin de La Juliette, Z.I. Labougran, 83200 Toulon, FR 83.137.217 CE.
SARL KALI ELEVAGE, La ferme de Loube, 2 Plan de Loube, 83390 Cuers, FR 83.049.196 CE.
DESMOULINS (Kévin), la ferme de la Bouquetière, 157, chemin de la Verlaque, 83400 Hyères, FR 83.069.003 CE.
PERRICHON (Nicolas), Les Clos de Digne, 82, chemin Collet-de-Christine, 83440 Tourrettes, FR 83.138.177 CE.
GIE du Bourdas, 1612, voie de la Transhumance, 83560 Saint-Julien-le-Montagnier, FR 83.113.125 CE.
FABRE (Philippe), Campagne Le Carton, 83840 La Roque-Esclapon, FR 83.109.113 CE.
Abattoir temporaire, 75, faubourg de Brisach, 90000 Belfort, FR 90.010.296 CE.
Bergerie d’Aumont en Halatte, parc départemental de La Courneuve, 93120 La Courneuve, FR 93.027.299 CE.

 

Source : http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000031175252&dateTexte=&categorieLien=id

 

Fièvre de West-Nile : sept autres foyers confirmés en Camargue

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Après les deux premiers cas de fièvre de West-Nile confirmés le 31 août 2015, l’un chez une jument dans le Gard et l’autre chez un étalon dans les Bouches-du-Rhône, sept autres cas viennent d’être identifiés : six toujours dans ces deux départements, un dans l’Hérault. Les mesures mises en œuvre par les préfectures (appel à la vigilance des vétérinaires équins, désinsectisation, surveillance des oiseaux sauvages, suivi des chevaux hébergés dans la zone touchée) restent plus que jamais d’actualité.

Antibiorésistance : des solutions techniques côté élevage, la promotion des bons usages côté animaux de compagnie

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Sur le front de la lutte contre l’antibiorésistance en médecine vétérinaire, le ministère de l’Agriculture publie une analyse* qui liste les solutions intégrées pour réduire le risque associé de perte d’efficacité des antibiotiques en élevage. Trois voies sont envisagées : la recherche de nouvelles molécules, le développement d’alternatives thérapeutiques et l’adoption de nouvelles conduites d’élevage davantage tournées vers la prévention. Du côté des animaux de compagnie, une campagne de communication**, prévue dans le plan ÉcoAntibio 2012-2017, vient d’être lancée pour sensibiliser les propriétaires via les vétérinaires.

Fièvre catarrhale ovine (FCO) : cinq cas bovins suspects détectés dans la Sarthe

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La préfète de la Sarthe a annoncé, le 13 septembre au soir, cinq cas suspects de FCO chez des bovins présentés lors de la 79e foire des quatre jours du Mans. Des analyses complémentaires sont en cours. Ces suspicions interviennent dans le cadre des prélèvements réalisés sur 135 des 900 animaux présents à ce rassemblement. Ils venaient notamment de l’Allier, le département où a été confirmé le 11 septembre un cas de fièvre catarrhale ovine chez un bélier issu d’un élevage d’ovins et de bovins. (lire notre article)

FCO dans l’Allier : zones réglementées

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Arrêté du 11 septembre 2015 définissant les zones réglementées relatives à la fièvre catarrhale du mouton (FCO)

Publics concernés : éleveurs, organismes à vocation sanitaire, vétérinaires, organisations vétérinaires à vocation technique, laboratoires d’analyses.
Objet : suite à la confirmation d’un foyer de fièvre catarrhale du mouton, la réglementation prévoit l’établissement de zones réglementées. Cet arrêté précise les zones réglementées en annexe suite à la mise en évidence d’un foyer dans l’Allier.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le jour de sa publication, soit le 13 septembre 2015

Notice : la fièvre catarrhale du mouton (FCO), danger de catégorie I, est une maladie virale affectant les ruminants. Suite à la mise en évidence d’un foyer, l’arrêté du 22 juillet 2011 fixant les mesures techniques et administratives relatives à la lutte contre la fièvre catarrhale du mouton sur le territoire métropolitain prévoit, parmi les mesures de police sanitaire, l’établissement de zones réglementées. La mise en évidence d’un cas dans l’Allier le 11 septembre entraîne la mise en place d’une zone de protection d’un rayon moyen de 100 km autour du foyer et d’une zone de surveillance de 50 km autour de la zone de protection.

La délimitation de ces zones est précisée en annexe et est également transmise à la Commission européenne conformément à la directive 2000/75/CE

 

Article 1

En application des articles 13 et 26 de l’arrêté du 22 juillet 2011 susvisé, les zones réglementées ainsi que les zones dans lesquelles la vaccination est autorisée, en complément de l’annexe II du même arrêté du 22 juillet 2011, figurent à l’annexe du présent arrêté.

 

Article 2

Le présent arrêté entre en vigueur le jour de sa publication.

 

ANNEXE : liste des zones par département

http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000031148099&dateTexte=&categorieLien=id

 

Recours aux antibiotiques : les bonnes pratiques d’emploi détaillées dans un guide à usage vétérinaire

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Le vétérinaire prescripteur est au centre du dispositif de lutte contre l’antibiorésistance, et c’est dans ce cadre que s’inscrivent les bonnes pratiques d’emploi préconisées dans l’arrêté* paru le 10 septembre. Destiné à tous ceux qui délivrent et administrent des antibiotiques (prescripteurs, fournisseurs ou ayants droit de la distribution au détail des médicaments, y compris des aliments médicamenteux, détenteurs des animaux traités), ce guide prend en compte les rapports et les recommandations déjà mis en œuvre aux niveaux international, européen et national.

Fièvre de West-Nile : deux chevaux confirmés infectés par le virus en Camargue

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Deux cas de fièvre de West-Nile ont été confirmés le 31 août 2015, le premier chez une jument anglo-arabe de trois ans à Fourques (Gard), le second chez un étalon lusitanien de trois ans à Arles (Bouches-du-Rhône). Les préfets des deux départements concernés ont mis en place des mesures telles qu’un appel à la vigilance des vétérinaires équins, un traitement de désinsectisation préventif, un renforcement de la surveillance des oiseaux sauvages, un suivi spécifique des chevaux hébergés dans la zone touchée. Pour la première fois depuis 2007, la fièvre du Nil occidental est ainsi détectée en France métropolitaine. Le ministère de l’Agriculture a réactivé le dispositif de surveillance de cette maladie.

La fièvre catarrhale ovine (FCO) de sérotype 8 est de retour en France

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Un foyer de fièvre catarrhale ovine (FCO) vient d’être confirmé dans le département de l’Allier, en Auvergne, dans la commune de Louroux-de-Bouble. Une confirmation établie ce vendredi par l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses). L’élevage d’ovins et de bovins touché compte 33 animaux testés positifs. La France, déclarée indemne de blue tongue depuis trois ans, n’avait pas connu de résurgence de la maladie depuis le dernier foyer identifié en juin 2010.

Bonnes pratiques des antibiotiques en médecine vétérinaire

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Arrêté du 22 juillet 2015 relatif aux bonnes pratiques d’emploi des médicaments contenant une ou plusieurs substances antibiotiques en médecine vétérinaire

 

Article 1

Les bonnes pratiques d’emploi des médicaments contenant une ou plusieurs substances antibiotiques en médecine vétérinaire prévues à l’article L. 5141-14-3 du code de la santé publique auxquelles doivent se conformer les vétérinaires dans le cadre de l’exercice de la médecine et de la chirurgie des animaux, les ayants droit de la pharmacie vétérinaire mentionnés à l’article L. 5143-2 du code de la santé publique et les éleveurs ou détenteurs d’animaux sont décrites en annexe du présent arrêté.

 

Article 2

Le directeur général de la santé et le directeur général de l’alimentation sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.

 

Annexes

GUIDE DE BONNES PRATIQUES D’EMPLOI DES ANTIBIOTIQUES EN MÉDECINE VÉTÉRINAIRE

Sommaire
Préambule
Introduction
1. Rappel réglementaire et normatif
1.1. Limites du droit de prescription
1.2. Délivrance et ayants droit
1.3. Pratiques d’élevage
2. Champ d’application
3. Principes de l’utilisation prudente
4. Rôle et responsabilités des vétérinaires prescripteurs
4.1. Conditions de prescription
4.2. Diagnostic
4.3. Examens complémentaires
4.4. Critères de choix d’un médicament antibiotique
4.5. Modalités de traitement
4.6. Utilisations validées par l’AMM ou « hors AMM »
4.7. Traçabilité
4.8. Pharmacovigilance
5. Rôle et responsabilité des ayants droit de la délivrance
5.1. Fabricants et distributeurs d’aliments médicamenteux
5.2. Vétérinaires
5.3. Pharmaciens d’officine
6. Rôle et responsabilité des éleveurs professionnels ou non professionnels
6.1. Rôle et responsabilité des éleveurs professionnels
6.2. Rôle et responsabilité des détenteurs d’animaux de compagnie, de sport et de loisir
Annexe 1
Annexe 2

 

Source : http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000031057310&dateTexte=&categorieLien=id

 

La lutte contre la maltraitance animale est formalisée par le ministère de l’Agriculture

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La conduite à tenir face à tout acte de maltraitance sur un animal, qu’il soit de production ou de compagnie, vient d’être précisée par la Direction générale de l’alimentation (DGAL), via une instruction technique* destinée notamment aux DD(CS)PP**. Des préconisations méthodologiques, en plusieurs étapes graduées, sont proposées afin de permettre aux services de l’État de mieux gérer les signalements. La procédure à suivre dans la base Sigal est également indiquée. Suivront d’autres instructions sur le mandatement vétérinaire, ainsi qu’un guide de bonnes pratiques.

Filière équine : l’IFCE part en campagne pour renforcer la traçabilité sanitaire des équidés

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L’Institut français du cheval et de l’équitation (IFCE) vient de lancer une campagne nationale de sensibilisation sur la sécurité et le contrôle sanitaires des équidés, baptisée « Préventifce ». Son but est notamment d’intensifier ses actions de contrôle sur le terrain, afin de resserrer les mailles de la traçabilité des équidés au plan national. Cette initiative s’inscrit dans le contexte du renforcement des dispositifs réglementaires intervenu en juin 2015.

 

Outre ses missions d’immatriculation (fichier central Sire) et de traçabilité des produits alimentaires équins (viande et lait) destinées à prévenir les risques de contagion et d’épidémie, l’IFCE s’est vu confier un rôle de police de l’identification par le ministère de l’Agriculture en juin dernier*. L’objectif des contrôles menés par les 67 agents de l’institut est double :

  • renforcer la fiabilité de la traçabilité sanitaire des équidés en aidant les détenteurs à respecter leurs obligations, puis en sanctionnant les négligences ou les fraudes, afin d’améliorer l’exhaustivité du fichier Sire et la réponse sanitaire en cas de crise, mais aussi pour garantir la certification à l’exportation ;
  • lutter contre les vols et les trafics d’équidés mis au jour par la Brigade nationale d’enquêtes vétérinaires et phytosanitaires.

 

Il est vrai que le mécanisme de sécurité sanitaire dans la filière équine doit faire face à quelques maillons faibles. En effet, des dysfonctionnements sont notamment constatés au niveau de la traçabilité :

  • 30 000 équidés adultes sont immatriculés chaque année, alors qu’ils devraient avoir été enregistrés dès leur naissance, avant l’âge d’un an ;
  • 70 % des équidés qui passent par l’équarrissage ne sont pas enregistrés comme équarris dans le fichier Sire, ce qui représente environ 20 000 chevaux morts non recensés dans la base.

 

IFCE SanitaireEn outre, comme il n’existe pas d’obligation de déclarer les mouvements des équidés, la connaissance de leur présence en France et de leur lieu d’hébergement reste approximative. Le seul lien entre les détenteurs et les équidés est le registre d’élevage, obligatoire depuis juin 2000. Mais là encore, des carences sont relevées : selon une enquête du réseau REFErences menée auprès de 155 exploitations équines en 2012, entre 32 et 67 % tiennent leur registre à jour. De même, seuls 40 % des détenteurs auraient déclaré leur lieu de résidence, pourtant une obligation depuis juillet 2010.

Dans ce contexte, la filière doit s’organiser pour se tenir prête face au risque croissant d’émergence d’une crise sanitaire ou d’une épidémie affectant les équidés dans les campagnes françaises, notamment en raison des nombreux mouvements internationaux pour la compétition, les courses, etc., mais aussi de l’adaptation des vecteurs de maladies aux conditions écologiques et climatiques européennes.

 

Premiers bilans des visites menées en mai et juin 2015

L’IFCE a d’ores et déjà contrôlé 5 000 chevaux sur le terrain et, à l’issue de deux mois de visites d’information menées auprès de 260 détenteurs (centres équestres, écuries de propriétaires, élevages, amateurs), est en mesure de tirer plusieurs constats :

  • 28 % des détenteurs contrôlés n’étaient pas déclarés auprès du Sire ;
  • 25 % des chevaux contrôlés présentaient une anomalie liée à l’identification (11 %) ou à la traçabilité sanitaire ;
  • 40 % des détenteurs n’avaient pas de registre d’élevage ;
  • 47 % n’enregistraient pas l’ensemble des animaux ;
  • 63 % n’enregistraient pas tous les mouvements d’équidés ;
  • 80 % ne déclaraient pas de vétérinaire sanitaire ;
  • 80 % des détenteurs effectuant des transports dans le cadre d’une activité économique ne possédaient pas de registre de transport.

Actuellement, 66 088 détenteurs sont déclarés dans la base Sire, dont 46 000 issus de structures professionnelles. Environ 120 000 détenteurs amateurs, correspondant à une population de quelque 200 000 chevaux, sont inconnus du fichier Sire, donc difficiles à sensibiliser vis-à-vis d’obligations qu’ils ignorent pour la plupart.

 

L’étape d’information et d’aide à la mise en conformité menée auprès des détenteurs d’équidés prend fin ce mois-ci. En octobre, une phase de contrôles sans sanctions sera mise en œuvre jusqu’à la fin de l’année. Les comptes rendus et les éventuels rappels à la réglementation seront transmis aux détenteurs contrôlés. À partir de janvier 2016, des sanctions pourront être prises en cas de manquement aux obligations d’identification.

 

* Ordonnance 2015-616 du 4 juin 2015 modifiant le Code rural et de la pêche maritime en vue d’assurer la conformité de ses dispositions avec le droit de l’Union européenne et modifiant les dispositions relatives à la recherche et à la constatation des infractions aux dispositions de son livre II. L’article 3 « permet aux agents de l’Institut français du cheval et de l’équitation, désignés par le directeur général de cet établissement, de rechercher et constater, sur l’ensemble du territoire national, les infractions relatives à l’identification des équidés et des camélidés ».